"Island" - Shlomo Artzi
Paroles et musique : Shlomo Artzi
Encore un nouveau jour qui commence, de nouveau nous ouvrons tous les deux les yeux
Encore une fois ta chanson, tu te reveilles dans ce monde
Je me leve le premier, il y a encore des petites choses
viens et reglons-les afin que cela soit parfait.
Encore une fois tu deviens dependante des sentiments et tu racontes
que tu as reve de moi cette nuit, que je t'ai apporte des fleurs
des petits baisers le matin, des petits baisers le soir
regarde dehors, une fois encore le ciel s'illumine.
Parfois au milieu d'un eclat de rire une tempete se dechaine
une tempete comme en Island
Qu'est-ce qu'il nous arrive quand on est mal a l'interieur ?
tu reviens du grand froid
je viens expose par la lumiere
Et je t'enlace, d'un long calin sans fin
et je te susurre : "si tu n'etais pas la, je n'aurais pas de demain".
Encore un nouveau jour qui commence, de nouveau nous ouvrons tous les deux les yeux
tu me dis que je suis loin comme San Francisco et tu me dis rapproche-toi
des petits baisers le matin, je t'embrasse les yeux
et je te demande si tu veux un cafe, et je me prepare a te dire que j'aime.
Parfois au milieu d'un eclat de rire une tempete se dechaine
une tempete comme en Island
Qu'est-ce qu'il nous arrive quand on est mal a l'interieur ?
tu reviens du grand froid
je viens expose par la lumiere
Et je t'enlace, d'un long calin sans fin
et je te susurre : "si tu n'etais pas la, je n'aurais pas de demain".
Comme en Island
Parfois au milieu d'un eclat de rire une tempete se dechaine
une tempete comme en Island
Qu'est-ce qu'il nous arrive quand on est mal a l'interieur ?
tu reviens du grand froid
je viens expose par la lumiere
Et je t'enlace, d'un long calin sans fin
et je te susurre : "si tu n'etais pas la, je n'aurais pas de demain".
"si tu n'etais pas la, je n'aurais pas de demain".
"si tu n'etais pas la, je n'aurais pas de demain".
Traduit de l'hebreu par David Goldstein pour Haabir-haisraeli